Do « volcanic wines » make any sense?

No they don’t, because there is no such thing as a « volcanic » wine. Such simplistic catch phrases should always be avoided like the plague. But there are wines whose grapes have been produced on volcanic soils, as the recent Vinora international salon held in Clermont Ferrand, in France’s major volcanic region, showed recently. So what about these? Do they really have any clear and shared identity?
To answer this, one has to ask the following question: does this presence of volcanic residues in the soil or sub-soil give a specific flavour identity to such wines? As a corollary, I would add the question of just what proportion of volcanic residue in a soil is necessary to define the volcanic identity of these wines and what is its nature?
Vines growing against black lava on the isle of Lanzarote, Canary Islands, Spain (credit:... [+] Shutterstock)

 

 

 

 

 

 

 

8 réflexions sur “Do « volcanic wines » make any sense?

  1. Jim Budd

    I enjoyed reading this David. Clearly this is a complex subject and very interesting in the present context when the four Upper Loire appellations – Saint=Pourçain, Côte Roannaise, Côtes de Forez and the Côtes de Forez have united for promotional purposes under the banner Loire Volcanique. I hope this initiative succeeds as there are some good wines being made in the Upper Loire and they deserve greater recognition.

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    1. David Cobbold

      Yes Jim, I agree. I tasted quite a few good wines and the whole area deserves more attention. The debate as to what can or cannot be called « volcanic » is far from being closed, and, in a way, that does not matter in the first stages as this operation is aimed at gaining attention for these regions. But, if they want to be rigourous in their approach, they will have to go further in some form of a « cahier des charges » and this will not be simple in many cases. Just saying that there is a volcano 50 kilometres from your plot is NOT sufficient to say that your wine is « volcanic », even if ashes can cover quite a distance!

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  2. Jim Budd

    David. We will see if they go for a cahier des charges or just concentrate on promotion under the volcanic banner. It is only a selection of producers that have signed up for this new organisation. They have an event in Paris on 27th April. Unfortunately I can’t go because it is during the Decanter World Wine Awards.

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    1. The alternative is 9th March in the Côte Roannaise but I guess Paris will be more convenient. I thought abut going to the Roannaise as we are in Touraine then but a 600 km round trip is too much to consider.

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  3. georgestruc

    Consacrer les 4/5ème d’un billet à dire qu’on est plein de suspicion vis-à-vis de l’effet terroir(s) des substrats volcaniques sur les vins, on s’en serait passé, David. Cela tombait tous le sens, s’agissant de vous, voyons…
    Il eut mieux valu approfondir la démarche et louer l’initiative de ces vignerons qui ont trouvé là le moyen de mettre leurs vins en lumière et de les faire connaître en dehors de la région Auvergne au sens très large de ce terme (je n’ai pas pu y aller, hélas). Le reste, c’est du chipotage, de l’écorniflage destiné à se maintenir droit dans sa ligne de pensée (je dirais : to snoop…).
    Les Côtes du Forez, tout à fait à l’est, renferment des pépites remarquables ; la maison Mondon-Demeure (Pic et Vin à Boisset-Saint-Priest) a conservé des hybrides producteurs directs (Seibel, Bacco) et ils cisèlent leurs Vendanges : 20 cuvées pour 8 ha de vignes (sur basalte, éboulis de basalte, etc…avec, outre ces hybrides, du Gamay, du Gamay à jus rouge, du Viognier…un festival !!
    Parlez-nous des vins, bon sang, puisque vous n’avez rien à dire au sujet des terroirs, et cela sera non seulement suffisant mais très instructif. Et vous savez parfaitement le faire, David. Régalez-nous de vos commentaires de dégustation!

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  4. Bonjour David,
    bravo pour l’article. effectivement le terme volcanique est mal venu mais ok pour le marketing. Les nuances « volcaniques sont nombreuses » et il serait bon que certains vignerons étudient bien leurs sous-sols avant d’argumenter. Certaines roches n’ont pas d’expression aromatique ou sapide. De mon côté j’ai fait ce type de dégustation avec des vins issus de roche noirâtre de basalte, comme La Volcanique de chez Verdier-Logel, à déguster au moins une fois dans sa vie, où le gamay devient volumineux et charpenté (hors vinif), normal car le basalte développe les mêmes arguments que l’argile ou les schistes argileux, avec en plus un caractère fumé bien caractéristique. Ce fumé basaltique (ou de lave) est différent de celui du silex, des marnes et des schistes. Il est grand temps d’arrêter le terme « pierre à fusil » !
    J’avais pris des fragments de roche (assez volumineux en plus) pour réaliser la dégustation comparative. C’est exactement la même sensation. Comment l’expliquer ces odeurs naturelles et celles du vin, en soi molécules organiques typiques d’un minéral ? par une analyse labo (chromato HPLC et autres) mais personne ne s’y intéresse visiblement. C’est surtout cela qui n’est pas normal. Ou plutôt si, car les roches n’ont pas de produits à vendre !
    Merci pour le post et continuer vos prises de position, car elles appellent à la réflexion et à l’échange, ce qui devient de plus en plus rare.

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  5. Je me rappelle d’une dégustation de Châteaumeillant où on m’avait expliqué que les cépages plantés (pinot noir et gamay, si a mémoire est bonne) varient avec les sols, une partie de l’aire d’appellation d’origine volcanique. Je n’ai plus les détails malheureusement.

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