Non, ni les politiques, ni les médias dits « engagés », ni les réseaux sociaux n’ont le monopole des fake-news. Quand l’Institut National du Cancer associe le cancer du sein et l’alcool (y compris le vin), sur la base de statistiques plus dénaturées qu’un alcool à désinfecter, il propage de fausses nouvelles.

Le site Honneur du Vin, en son temps, s’était fait une spécialité de démonter ces affirmations fallacieuses, comme ici.
Il nous manque bien, ce site, et l’on aimerait que les instances professionnelles du vin s’inspirent de sa pugnacité pour rendre coup pour coup, à l’heure où ce même Institut National du Cancer réclame une hausse des taxes sur les alcools (y compris le vin), dans le but avoué d’en faire baisser la consommation, sans distinction de type d’alcool ni de modes de consommation.
N’attendons aucune mansuétude des parlementaires (certains ne connaissent rien au vin ou ont d’autres mécènes) ni aucune compréhension du lobby anti-alcool. Réagissons!
L’ANPAA n’hésite jamais à attaquer en justice les annonceurs de publicités qu’il juge trop favorables au vin; alors, qu’est-ce qui retient les institutions du vin d’assigner devant un tribunal des gens dont les annonces font croire qu’un verre de vin peut provoquer le cancer du sein? La peur? La honte? La pusillanimité? Le j’m’enfoutisme? Le faux espoir d’arranger les choses en coulisses? Et quand il sera trop tard, ils feront quoi?
Hervé Lalau 😡
Le vin, comme l’huile d’olive, depuis des millénaires, a donné la preuve de ses bienfaits pour la santé.
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Dans les circonstances que nous connaissons actuellement, on entend nombre d’intervenants, dans les médias, rappeler abondement que «nous sommes le pays de Pasteur».
Puissent-ils, lorsque le vin est attaqué, se souvenir de ce qu’en disait ce grand homme si cher à leur mémoire… et aussi -plus intégralement- à la nôtre
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