Le monopole des vins et alcools de la province canadienne d’Ontario (LCBO) ne proposera pas de Beaujolais Nouveau cette année.
Les raisons invoquées sont diverses: délais trop serrés, coûts de transport trop élevés, trop faible marge bénéficiaire.
Plus ici:
l-express.ca/le-beaujolais-nouveau-nest-plus/
Sur son site Vinquébec, notre confrère québécois Marc André Gagnon pense qu’il pourrait en être de même au Québec, les mêmes causes ayant les mêmes effets, à la SAQ cette fois.
Affaire à suivre… on ne devrait pas tarder à être fixé.
610.000 bouteilles de Beaujolais Nouveau ont été vendues au Canada en 2021, principalement dans ces deux provinces, ce qui en faisait le 4eme marché à l’exportation du BN, derrière le Japon, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, mais devant l’Allemagne et la Belgique.
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Quant aux délais serrés… ils sont toujours serrés, non, pour ce type d’opération?
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Délais serrés, ce tombe sous le sens, sans quoi le Beaujolais risquerait de ne plus être « nouveau » !
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Ils peuvent toujours boire leurs propres vins, de Gamay en particulier, dont les meilleurs sont assez proches du « goût Beaujolais ». https://www.vinquebec.com/forte-hausse-de-la-production-de-vin-au-canada/
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Au Québec, d’aucuns estiment que devoir le transporter en avion our tenir les dates est mauvais pour le bilan carbone.
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