Qu’on se le dise, ils arrivent! Mais au pluriel, cette année, dans la communication officielle. Pour bien marquer leur diversité.
Quoi qu’il en soit de leur fruité, de leur vinosité, de leur potentiel de garde, même (puisque c’est un argument entendu dans la bouche de certains vignerons), la sortie des Beaujolais Nouveaux, même moins médiatisée que naguère, reste une excellente occasion de faire la fête au vin.
Alors, vous nous dites comment vous les trouvez cette année?
Comment on les trouve? C’est facile, il y en a partout.
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Ah ah, tof. Même à Corneilla?
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Deux commentaires lus sur le site du Figaro, ce matin: « Une occasion toute commerciale d’une ivrognerie de masse » (Ankor); « Cette infâme piquette me donne des brûlures d’estomac. Sans doute le goût de banane qui ne passe pas » (Zanzibar). Et pas un message, jusqu’à présent, pour soutenir l’événement. Il n’y a donc personne pour sauver le soldat Beaujolais?
Chez moi, c’est le goût de tout ce fiel qui ne passe pas. Et puis de devoir lire la prose de certaines divas qui font la fine bouche. Je leur laisse l’analyse marketing et la critique sociétale, laissez moi le plaisir du vin.
Et la convivialité, bordel! C’est dans les GCC à 150 euros la quille que vous la trouverez?
Il y a des jours où l’on préfèrerait être pianiste dans un bastringue.
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Bravo, j’adhère à tes propos!
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